SAINTE LUCIE
SAINTE LUCIE : Etape d’essai et d’avitaillement. 2
Vendredi, malgré une météo un peu morose, nous prenons la direction de Sainte Lucie.
L’île n’est qu’à une vingtaine de Miles (33 km) au sud de la Martinique. Nous partons peinard, voilure réduite. La mer est forte. Deux bateaux nous suivent mais font rapidement demi tour. Fidelio avance très vite. Nous sommes à moins d’une heure de la pointe nord de Ste Lucie lorsque le pilote se met en panne, le bateau n’en fait qu’à sa tète.
Le génois a éclaté !!!. Je prends la barre tandis qu’Elie file à l’avant essayer de l’enrouler sans agrandir le trou et garder solidaire le haut avec le bas. La manœuvre réussie, nous maintenons notre cap voile seule et ça marche toujours très fort, puisque nous mouillons dans Rodnay Bay après seulement trois heures d’une navigation musclée.
Nous avons trouvé une place loin des autres bateaux afin de terminer tranquillement la récupération du génois qu’il faut sortir de l’enrouleur. L’opération se passe bien. Après vérification, celui ci n’est que décousu… La réparation attendra donc Bonaire car nous avons un autre génois de route plus petit, plus solide et mieux adapté à ces alizés forts.
Samedi, nous partons faire un approvisionnement pour quinze jours. Le frais au marché de Castries et l’épicerie dans la grande surface de Rodnay Bay village à 800 m à pied de la marina. Les travaux de l’extension de la marina sont presque terminés, c’est une énorme marina à l’abri des cyclones avec toutes les commodités pour les marins. Les prix qui semblaient intéressants s’alignent de plus en plus sur ceux de la Martinique qui sont prohibitifs.
Nous pensions partir dès le dimanche mais la météo se détériore et nous restons sous les rafales de vent et de pluies subissant notre tempête en même temps les Landais.
Mais ici, il fait 29 degrés et notre usine électrique fonctionne très bien. Aucune coupure de courant et des watts à n’en plus savoir que faire puisqu’une batterie est hors service et deux autres ont déjà 5 ans et sont également à changer. Nous partons à pied à la recherche d’une nouvelle batterie moteur. Dans un garage un St Lucien nous propose de nous véhiculer car il va à Castries (la capitale). Nous allons de garage en garage pour enfin de compte ne trouver qu’une batterie un peu faible pour lancer le moteur. Enfin, elle est belle et on la garde.
La semaine se passe en ballades et préparations diverses. Les bulletins météo semblent montrer une légère amélioration pour samedi. Nous décidons de nous lancer. Il nous faut repasser par la douane car nos papiers sont à refaire.
Vendredi, malgré une météo un peu morose, nous prenons la direction de Sainte Lucie.
L’île n’est qu’à une vingtaine de Miles (33 km) au sud de la Martinique. Nous partons peinard, voilure réduite. La mer est forte. Deux bateaux nous suivent mais font rapidement demi tour. Fidelio avance très vite. Nous sommes à moins d’une heure de la pointe nord de Ste Lucie lorsque le pilote se met en panne, le bateau n’en fait qu’à sa tète.
Le génois a éclaté !!!. Je prends la barre tandis qu’Elie file à l’avant essayer de l’enrouler sans agrandir le trou et garder solidaire le haut avec le bas. La manœuvre réussie, nous maintenons notre cap voile seule et ça marche toujours très fort, puisque nous mouillons dans Rodnay Bay après seulement trois heures d’une navigation musclée.
Nous avons trouvé une place loin des autres bateaux afin de terminer tranquillement la récupération du génois qu’il faut sortir de l’enrouleur. L’opération se passe bien. Après vérification, celui ci n’est que décousu… La réparation attendra donc Bonaire car nous avons un autre génois de route plus petit, plus solide et mieux adapté à ces alizés forts.
Samedi, nous partons faire un approvisionnement pour quinze jours. Le frais au marché de Castries et l’épicerie dans la grande surface de Rodnay Bay village à 800 m à pied de la marina. Les travaux de l’extension de la marina sont presque terminés, c’est une énorme marina à l’abri des cyclones avec toutes les commodités pour les marins. Les prix qui semblaient intéressants s’alignent de plus en plus sur ceux de la Martinique qui sont prohibitifs.
Nous pensions partir dès le dimanche mais la météo se détériore et nous restons sous les rafales de vent et de pluies subissant notre tempête en même temps les Landais.
Mais ici, il fait 29 degrés et notre usine électrique fonctionne très bien. Aucune coupure de courant et des watts à n’en plus savoir que faire puisqu’une batterie est hors service et deux autres ont déjà 5 ans et sont également à changer. Nous partons à pied à la recherche d’une nouvelle batterie moteur. Dans un garage un St Lucien nous propose de nous véhiculer car il va à Castries (la capitale). Nous allons de garage en garage pour enfin de compte ne trouver qu’une batterie un peu faible pour lancer le moteur. Enfin, elle est belle et on la garde.
La semaine se passe en ballades et préparations diverses. Les bulletins météo semblent montrer une légère amélioration pour samedi. Nous décidons de nous lancer. Il nous faut repasser par la douane car nos papiers sont à refaire.
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