26 mars 2009

RETOUR KLEIN CURACAO












LE RETOUR 10

KLEIN CURACAO

Tout se complique puisque le retour se fait maintenant contre le vent. La trinquette est à poste pour nous permettre de le serrer au plus près. La météo annonce une amélioration.( une simple diminution du vent). Notre première étape est Klein Curaçao. L’électricien du bord passe beaucoup de temps à expérimenter des alliances sur son parc de batteries. A peine avons nous jeté l’ancre qu’il s’aperçoit que le régulateur de l’éolienne est en panne. Nous retournons à Curaçao pour un aller retour au magasin d’accastillage dont le gros catalogue nous laissait supposer qu’on trouverait la bonne pièce. C’est tout comme chez nous. Plus de stock, c’est au client de commander en payant les frais de transport. Nous repartons vers notre petit paradis de Klein Curaçao. Nous ferons 13 Milles vent arrière à l’aller et autant vent dans le nez au retour (mais nous avons acheté un pain)…
L’île perd un peu de son charme le dimanche. Nous avons été jusqu’à 5 voiliers et 4 engins de pèche à moteur. Les palmipèdes à tubas barbotent autour de Fidelio dont l’arrière est sur le tombant.

09 mars 2009

CURACAO SUITE


























































CURACAO (suite) 9

Notre génois est rapidement réparé. Nous quittons le monde un peu fermé de Spannse Water pour aller faire un tour dans les quelques baies autorisées…
Tout au nord, West Punt renommé pour ses plongées. La baie est étroite dominée par des falaises Nous allons faire un tour à pied jusqu’à la pointe extrême de l’île et prenons rendez vous avec le centre de plongée située a coté du grand hôtel pour « un test d’essai !!! » On ne rigole pas avec les inconnus. On nous dit qu’ici tous les plongeurs sont très expérimentés…
Allons y pour le test, c’est gratuit mais on ne sais pas ce que c’est.. On nous donne 2 scaphandres complets et … Débrouillez vous !! .
Nous avons donc plongé sur le magnifique tombant d’« Alice wonderland » avec bouteilles alors que nous pensions le faire avec nos tubas. Le lendemain, rendez vous pour notre seconde plongée, cette fois payante. Nous sommes les seuls plongeurs avec le moniteur (1 gars d’Andorre) et nous allons nous laisser dériver dans le courant sur une forêt extraordinaire de corail en forme de chapeau de champignon. Rien de spectaculaire dans les poissons. Ils sont tous de petites tailles. Un restaurant domine la baie. Au fond, un port de pèche avec quelques barques. Tout est calme à l’exception des quelques plongeurs qui sautent du haut de la falaise en hurlant de frousse et des nageurs qui viennent discuter autour du bateau. L’hôtellerie n’a pas l’air de marcher fort.
Notre seconde baie Santa Cruz Toute pareil à la première mais plus au sud. Sable blanc sur la plage, avec les éternelles parasols en bananier. Les falaises sont couvertes de buissons et cactus pleins d’oiseaux, en particulier de perroquets verts. Un centre de plongée donne un peu de mouvement à cette baie ainsi que le petit port de pèche installé dans la lagune. Les pécheurs disposent de box fermés pour ranger leur matériel et d’une douche…
ouverte à tous. C’est le confort pour nous. Nous remplirons aussi quelques bidons.
Nous décidons de prendre le bus pour aller visiter une ancienne plantation à Knip. L’arrêt est à proximité de la lagune mais les moustiques attaquent. Bonne raison pour faire du stop. Et cela marche si bien que nous nous laissons conduire après la visite jusqu’au supermarché.
Ici à Curaçao, il n’existe pas de village. Les maisons sont disséminées, la cote étant souvent occupée par les grands hôtels qu’on appelle Ressort avec maisons ou appartements à louer Pour les commerces, tout se tient à Willemstad la capitale. Il y a quelques petites épiceries mais souvent perdues en pleine campagne. L’église, n’attire pas forcément la boulangerie et le bistro comme en France.
Nous avons repéré une épave sur notre carte marine et essayons de la trouver. Elie conduit l’annexe tandis que je met le nez sous l’eau. L’épave est entre 8 et 10 m et se voit de la surface. Nous posons l’ancre sur la coque. L’hélice est impressionnante . Nous terminons notre sortie accompagnés par les dauphins qui croisent devant la baie. Comme à Bonaire des bouées (rouges ici) sont placées sur les différents sites de plongées. Nous pouvons y attacher Fidelio sans pouvoir y passer la nuit.
Jeudi 5 , Santa Martha qui n’est qu’à 1 heure de route. Superbe lagune avec moustiques et quantité d’oiseaux. Ce soir BBQ et music live !!! Nous attachons l’annexe au ponton de l’hôtel. Le personnel en surnombre est charmant et nous propose de nous emmener en ville mais qu’y faire ?? puisqu’il n’y a pas de ville et le retour en stop dans cet hôtel désert paraît problématique !! Bonne nuit sous la moustiquaire et toujours seul voilier. L’hélicoptère de l’armée fait ses 2 rondes par jour pour vérifier que nous sommes bien là.
Une tempête est annoncée sur nos cartes météo, nous retournons à l’abri à Spanish Water. L’alizé fort souffle du nord et il ne fait plus que 25 °.
Lors d’un happy hour nous confions la grand voile pour une révision complète au voilier. Les soirées chez Asciento , sont chaleureuses. Les vieux marins ayant définitivement jeté l’ancre se retrouvent pour dîner derrière le bar tandis que les « oiseaux de mer » discutent bruyamment de leur futures destinations. Nous prenons plaisir à flâner dans Willemstad capitale Hollandaise très animée avec ses boutiques chics et ses nombreux restaurants. Nous améliorons aussi notre anglais et notre espagnol !
Samedi 14 mars, les cartes météo ne paraissent pas trop mauvaise pour envisager notre retour bien que l’alizé d’Est soit toujours soutenu…

CURACAO












CURACAO 8

Jeudi 19 février, nous quittons cette petite île magnifique pour sa grande sœur Curaçao.
Nous ne naviguons qu’avec la grand voile et arrivons 3 heures plus tard à Spannish Water. Grande lagune au sud de l’île. Ici commence une vie sans Français.
La majorité des bateaux sont hollandais ou Américains Les Américains ne parlent qu’une langue, la leur. Nous avons un peu plus de chance avec les Hollandais qui connaissent aussi l’Espagnol mais tout ce petit monde est charmant et le soir même de notre arrivée nous prenons ensemble un pot chez Asiento au Yacht club. Une soupe au poulet nous est gracieusement offerte et nous contactons même un voilier à qui nous confions notre génois décousu. Ces réunions entre gens de bateau ont lieu le jeudi et mardi à l’heure du happy hour c’est à dire vers 17 Heures. Depuis Spannish Water qui est un peu loin de tout, des bus partent pour Willemstad la capitale. Nous y allons faire nos papiers d’entrée mais trouvons porte close pour les permit d’ancrer (c’est le début du carnaval). A Curacao nous devons dire quand et où nous allons ce qui n’est pas simple quand on bouge avec la météo …
Chaque jour les navettes des grandes surfaces viennent chercher les marins de Spanish Water pour une heure de course. Sur le parking en attendant, nous lions connaissance et je crois même que nous parlons le papiamento mélangeant français, anglais et espagnol.
Les supermarchés sont bien achalandés et bons marché si on les compare à ceux de nos Antilles Françaises. Mais pour Internet, je dois aller à la capitale. Tous les bateaux ici ont la Wifi. Nous devrons faire 3 aller retour à Willemstad pour enfin être en règle ave les autorités.

Dimanche 22 février.
Journée de carnaval. Beaucoup de marche et beaucoup de bruit mais jolis costumes et un très beau défilé.



CURACAO 8

Jeudi 19 février, nous quittons cette petite île magnifique pour sa grande sœur Curaçao.
Nous ne naviguons qu’avec la grand voile et arrivons 3 heures plus tard à Spannish Water. Grande lagune au sud de l’île. Ici commence une vie sans Français.
La majorité des bateaux sont hollandais ou Américains Les Américains ne parlent qu’une langue, la leur. Nous avons un peu plus de chance avec les Hollandais qui connaissent aussi l’Espagnol mais tout ce petit monde est charmant et le soir même de notre arrivée nous prenons ensemble un pot chez Asiento au Yacht club. Une soupe au poulet nous est gracieusement offerte et nous contactons même un voilier à qui nous confions notre génois décousu. Ces réunions entre gens de bateau ont lieu le jeudi et mardi à l’heure du happy hour c’est à dire vers 17 Heures. Depuis Spannish Water qui est un peu loin de tout, des bus partent pour Willemstad la capitale. Nous y allons faire nos papiers d’entrée mais trouvons porte close pour les permit d’ancrer (c’est le début du carnaval). A Curacao nous devons dire quand et où nous allons ce qui n’est pas simple quand on bouge avec la météo …
Chaque jour les navettes des grandes surfaces viennent chercher les marins de Spanish Water pour une heure de course. Sur le parking en attendant, nous lions connaissance et je crois même que nous parlons le papiamento mélangeant français, anglais et espagnol.
Les supermarchés sont bien achalandés et bons marché si on les compare à ceux de nos Antilles Françaises. Mais pour Internet, je dois aller à la capitale. Tous les bateaux ici ont la Wifi. Nous devrons faire 3 aller retour à Willemstad pour enfin être en règle ave les autorités.

Dimanche 22 février.
Journée de carnaval. Beaucoup de marche et beaucoup de bruit mais jolis costumes et un très beau défilé.



CURACAO 8

Jeudi 19 février, nous quittons cette petite île magnifique pour sa grande sœur Curaçao.
Nous ne naviguons qu’avec la grand voile et arrivons 3 heures plus tard à Spannish Water. Grande lagune au sud de l’île. Ici commence une vie sans Français.
La majorité des bateaux sont hollandais ou Américains Les Américains ne parlent qu’une langue, la leur. Nous avons un peu plus de chance avec les Hollandais qui connaissent aussi l’Espagnol mais tout ce petit monde est charmant et le soir même de notre arrivée nous prenons ensemble un pot chez Asiento au Yacht club. Une soupe au poulet nous est gracieusement offerte et nous contactons même un voilier à qui nous confions notre génois décousu. Ces réunions entre gens de bateau ont lieu le jeudi et mardi à l’heure du happy hour c’est à dire vers 17 Heures. Depuis Spannish Water qui est un peu loin de tout, des bus partent pour Willemstad la capitale. Nous y allons faire nos papiers d’entrée mais trouvons porte close pour les permit d’ancrer (c’est le début du carnaval). A Curacao nous devons dire quand et où nous allons ce qui n’est pas simple quand on bouge avec la météo …
Chaque jour les navettes des grandes surfaces viennent chercher les marins de Spanish Water pour une heure de course. Sur le parking en attendant, nous lions connaissance et je crois même que nous parlons le papiamento mélangeant français, anglais et espagnol.
Les supermarchés sont bien achalandés et bons marché si on les compare à ceux de nos Antilles Françaises. Mais pour Internet, je dois aller à la capitale. Tous les bateaux ici ont la Wifi. Nous devrons faire 3 aller retour à Willemstad pour enfin être en règle ave les autorités.

Dimanche 22 février.
Journée de carnaval. Beaucoup de marche et beaucoup de bruit mais jolis costumes et un très beau défilé.


CURACAO 8

Jeudi 19 février, nous quittons cette petite île magnifique pour sa grande sœur Curaçao.
Nous ne naviguons qu’avec la grand voile et arrivons 3 heures plus tard à Spannish Water. Grande lagune au sud de l’île. Ici commence une vie sans Français.
La majorité des bateaux sont hollandais ou Américains Les Américains ne parlent qu’une langue, la leur. Nous avons un peu plus de chance avec les Hollandais qui connaissent aussi l’Espagnol mais tout ce petit monde est charmant et le soir même de notre arrivée nous prenons ensemble un pot chez Asiento au Yacht club. Une soupe au poulet nous est gracieusement offerte et nous contactons même un voilier à qui nous confions notre génois décousu. Ces réunions entre gens de bateau ont lieu le jeudi et mardi à l’heure du happy hour c’est à dire vers 17 Heures. Depuis Spannish Water qui est un peu loin de tout, des bus partent pour Willemstad la capitale. Nous y allons faire nos papiers d’entrée mais trouvons porte close pour les permit d’ancrer (c’est le début du carnaval). A Curacao nous devons dire quand et où nous allons ce qui n’est pas simple quand on bouge avec la météo …
Chaque jour les navettes des grandes surfaces viennent chercher les marins de Spanish Water pour une heure de course. Sur le parking en attendant, nous lions connaissance et je crois même que nous parlons le papiamento mélangeant français, anglais et espagnol.
Les supermarchés sont bien achalandés et bons marché si on les compare à ceux de nos Antilles Françaises. Mais pour Internet, je dois aller à la capitale. Tous les bateaux ici ont la Wifi. Nous devrons faire 3 aller retour à Willemstad pour enfin être en règle ave les autorités.

Dimanche 22 février.
Journée de carnaval. Beaucoup de marche et beaucoup de bruit mais jolis costumes et un très beau défilé.