GUADELOUPE 27 01 08
GUADELOUPE 27 01 08 LES SAINTES
Deshaies est un petit village très agréable situé au Nord ouest de la Guadeloupe. Elie retrouve ses chères baguette de pains. Nous allons à la recherche de la brigade volante des douanes pour faire notre clearance. Enfin à 10 heures nous partons direction, Marie Galante mais le vent nous amène aux …Saintes...
Nous retrouvons P’ti Gus mouillé derrière le pain de sucre. La baie se remplie vite et comme le vent est passé de sud à nord-est les chaînes des ancres se croisent. A 5 heures, une première rafale met tous les équipages sur le pont. Certains bateaux sont trop proches et doivent mettre leur ancre un peu plus loin sous la pluie battante. On reconnaît les mauvais coucheurs qui sont arrivés en dernier et qui attendent dans le noir que le voisin bouge La houle de nord nous assure une nuit blanche avec des rafales de pluies et les bruits de rappel sur la chaîne. P’ti Gus s’est déplacé dans la grande baie en jurant après « les charters qui se mettent en tas ».
Au matin, après avoir repérer où aller en fonction du vent et de la houle , et avant que les autres ne s’éveillent nous filons toujours aux Saintes vers Terre de Bas dans l’Anse Fideling. Nous allons vite être suivi.
Cette anse très protégée du vent et de la houle a depuis cette année un ponton tout neuf et un escalier pour atteindre la falaise qui conduit au village de grande Anse. Les pécheurs portent toujours le Salakot, chapeau en bambou venu de Saigon. Chacun se salue et les ballades à terre sont très agréables.
Le port de « commerce » dans l’anse des Mûriers est en pleine construction. Une jetée est en partie terminée. En passant par la trace des mornes je vais jusqu’à Petites Anses sur la cote sud. Je n’ai rencontré personne sur cette ancienne route qui monte dans la forêt à part les cabris, les perdrix rouges et les poulets en liberté.
La météo s’améliore et nous quittons cette baie tranquille pour Saint François où nous récupérons Annick, Julien et Elisa pour une croisière vers Petites Terres.
Nous avons de face un alizé soutenu mais la traversée est courte . Lorsque nous arrivons à la passe, les déferlantes sont impressionnantes. Nous avançons prudemment, safran et dérive relevés. Le sondeur indique moins de 2 m mais déjà nous entrons dans le lagon. Nos marins se remettent de leur nausée. Nous retrouvons Post Scriptum de Paimpol.
Tout le monde se met à l’eau avec palmes et masques. Comme le courant est très fort, nous allons en annexe jusqu’aux coraux . Dans ce territoire protégé qui fait partie de la commune de la Désirade les poissons grandissent en toute tranquillité. Les tortues ne sont pas farouches et les requins des sables nous observent placidement. Nous revenons au bateau en nous laissons dériver.
Le vent ne faiblit pas et les vagues qui déferlent, rugissent sur la barrière de corail. Nous ne dormons que d’un œil.
Dimanche toute l’équipe décide de refaire une plongée avant de rentrer, cette fois vent arrière et à toute vitesse. Nous nous installons dans la Marina de St François suivi par Post Scriptum qui embarque un ami Paimpolais.
La marina de St François est en réfection et en attendant, nous sommes comme des rois au ponton où n’accostent que les « charters day « . Ils partent avec leur cargaison de touristes dès 8 h et ne rentrent qu’à 17h. Elie s’est remis à bricoler sur le pont.
Je profites de ma liberté de mouvements pour me promener dans cette ville agréable. Le marché est bien achalandé et les boutiques de vêtements de toutes sortes foisonnent.
Nous retrouvons des amis en vacances et l’habitude des repas au restaurant.
Deshaies est un petit village très agréable situé au Nord ouest de la Guadeloupe. Elie retrouve ses chères baguette de pains. Nous allons à la recherche de la brigade volante des douanes pour faire notre clearance. Enfin à 10 heures nous partons direction, Marie Galante mais le vent nous amène aux …Saintes...
Nous retrouvons P’ti Gus mouillé derrière le pain de sucre. La baie se remplie vite et comme le vent est passé de sud à nord-est les chaînes des ancres se croisent. A 5 heures, une première rafale met tous les équipages sur le pont. Certains bateaux sont trop proches et doivent mettre leur ancre un peu plus loin sous la pluie battante. On reconnaît les mauvais coucheurs qui sont arrivés en dernier et qui attendent dans le noir que le voisin bouge La houle de nord nous assure une nuit blanche avec des rafales de pluies et les bruits de rappel sur la chaîne. P’ti Gus s’est déplacé dans la grande baie en jurant après « les charters qui se mettent en tas ».
Au matin, après avoir repérer où aller en fonction du vent et de la houle , et avant que les autres ne s’éveillent nous filons toujours aux Saintes vers Terre de Bas dans l’Anse Fideling. Nous allons vite être suivi.
Cette anse très protégée du vent et de la houle a depuis cette année un ponton tout neuf et un escalier pour atteindre la falaise qui conduit au village de grande Anse. Les pécheurs portent toujours le Salakot, chapeau en bambou venu de Saigon. Chacun se salue et les ballades à terre sont très agréables.
Le port de « commerce » dans l’anse des Mûriers est en pleine construction. Une jetée est en partie terminée. En passant par la trace des mornes je vais jusqu’à Petites Anses sur la cote sud. Je n’ai rencontré personne sur cette ancienne route qui monte dans la forêt à part les cabris, les perdrix rouges et les poulets en liberté.
La météo s’améliore et nous quittons cette baie tranquille pour Saint François où nous récupérons Annick, Julien et Elisa pour une croisière vers Petites Terres.
Nous avons de face un alizé soutenu mais la traversée est courte . Lorsque nous arrivons à la passe, les déferlantes sont impressionnantes. Nous avançons prudemment, safran et dérive relevés. Le sondeur indique moins de 2 m mais déjà nous entrons dans le lagon. Nos marins se remettent de leur nausée. Nous retrouvons Post Scriptum de Paimpol.
Tout le monde se met à l’eau avec palmes et masques. Comme le courant est très fort, nous allons en annexe jusqu’aux coraux . Dans ce territoire protégé qui fait partie de la commune de la Désirade les poissons grandissent en toute tranquillité. Les tortues ne sont pas farouches et les requins des sables nous observent placidement. Nous revenons au bateau en nous laissons dériver.
Le vent ne faiblit pas et les vagues qui déferlent, rugissent sur la barrière de corail. Nous ne dormons que d’un œil.
Dimanche toute l’équipe décide de refaire une plongée avant de rentrer, cette fois vent arrière et à toute vitesse. Nous nous installons dans la Marina de St François suivi par Post Scriptum qui embarque un ami Paimpolais.
La marina de St François est en réfection et en attendant, nous sommes comme des rois au ponton où n’accostent que les « charters day « . Ils partent avec leur cargaison de touristes dès 8 h et ne rentrent qu’à 17h. Elie s’est remis à bricoler sur le pont.
Je profites de ma liberté de mouvements pour me promener dans cette ville agréable. Le marché est bien achalandé et les boutiques de vêtements de toutes sortes foisonnent.
Nous retrouvons des amis en vacances et l’habitude des repas au restaurant.